Présentation des ateliers


Atelier #1, les murs, Bozier. Présentation, textes.


Atelier #2, StreetView, Flaubert, Bergounioux, Hodasava. Présentation, textes.


Atelier #3, Lycée absent ? Graff. Présentation, textes.


Atelier #4, Le banal explose à la figure. Kaplan. Présentation, textes.


Toutes les consignes. On peut aussi naviguer via le nuage de mots-clés sur le côté…


ateliers donnés par Joachim Séné, au groupe "Littérature et société"

de Michel Brosseau, professeur de Lettres au Lycée Jacques Monod de Saint-Jean de Braye

printemps 2014

jeudi 24 avril 2014

Le tunnel

La tour Eiffel, une vue que tout touriste est amené à venir voir une fois dans sa vie. C'est ici le cas d'Eléanore, une jeune fille pleine de vie, elle adore voyager et à chaque fois qu'elle part en excursion, elle part de Paris un petit air de nostalgie. Elle se dirige vers la gare d’Austerlitz pour prendre le train « Eurostar » d'Austerlitz une nouvelle ligne pour traverser l'Europe entière. 

Elle s'était embarqué pour 2 jours et demi de trajet. Elle sortit son calepin à dessins et commença à dessiner le paysage qui l'entourait, un paysage qui allait à toute allure en passant par l’Allemagne, l'Autriche, la Hongrie, duquel un bref croquis fut tiré. 


Il y eut quelque soucis lors du voyage, quelques problèmes techniques, en effet le train venait de passer un tunnel étrange entouré de nuages elle n'en croyait pas ses yeux. Le conducteur et le personnel du train firent descendre tout les passagers, Eléanore se retrouva à traverser un tunnel sombre dont on ne savait pas l'existence, elle songea au magnifique paysage qu'elle aperçut avant que n'adviennent les quelques soucis, un ciel d'un bleu intense mais clair, des nuages aux alentours comme si le train et ces passagers ne se trouvaient plus sur la terre ferme comme un départ aux pays des merveilles. 

Lorsqu'elle arriva au bout du tunnel un paysage somptueux se dressa devant elle une plage magnifique, serait-elle arrivée ? Elle n'en savait rien mais l'endroit avait comme un air familier, comme un souvenir lointain, au loin elle vit qu'on lui faisait un signe de la main ne se doutant pas encore de l'identité de la personne elle s'avança et reconnu le seul amour qu'elle eut dans sa vie, David qui en faite l'avait suivi depuis Paris. Ils se retrouvèrent sur une plage somptueuse, une eau turquoise un sable fin des arbres exotiques, comme si le tunnel mystérieux les avait menés à se retrouver dans un décor idyllique pour célébrer des retrouvailles inattendues.



Djeka

Le pont

Il faisait froid et il pleuvait mais Anna aimait bien se retrouver seule sur ce pont, cela lui permettait de s'évader un petit peu et de penser à autre chose. Ce pont était là où ses parents s'étaient rencontrés la première fois. Après une dizaine de minutes de méditation elle se rappela que sa mère lui avait demandé d’allée chercher le gâteau d'anniversaire de son frère à la petite boulangerie du quartier. 











Elle partit en courant en direction de la maison de ses parents, elle était trempé de la tête au pied. Anna aimait beaucoup voyager surtout dans des lieux complètement différents. Elle tenait cette passion de son père. Son premier voyage était à l'âge de 17 ans à Sydney en Australie, elle avait surtout adoré voir les bébés kangourous dans une petite réserve, et la vue autour de l'opéra de Sydney qui était magnifique avec la mer autour. 


Le voyage dont elle se souviendrait sûrement le plus était quand elle et son frère avaient nagé avec des requins à Hawaï. C'était un moment merveilleux ou l'on ne pensait à rien et où il régnait un calme paisible. Le voyage qu'elle avait fait au Canada lui avait aussi beaucoup plu, surtout le paysage qui donnait un petit coté féerique avec les sapins et rochers couverts de neige et les montagnes au loin. Dans sa course effrénée elle fonça dans quelqu'un qui l'insulta cette voix lui était familière. Elle se retourna et découvrit un jeune homme qui avait fait avec elle et son frère l’expédition avec les requins. Ils étaient resté en contact un moment puis s'étaient perdu de vue



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Charlotte M

Une ombre au bord de l'eau


Aria courait au bord de la plage les rêves pleins la tête. Elle était prête, prête à partir loin d'ici, loin de son cher et tendre pays. Partir loin d'Aix, pour aller vers l'inconnu. Elle était partie depuis 6 h de son village natal pour prendre l'avion.

Elle se réveilla en sursaut la tête vers le bas, l'avion était sur le point d’atterrir en Thaïlande, elle se relevait difficilement, se tenant à son siège le temps de l’atterrissage. Une fois sortie elle prit un petit bus pour se rendre à un lieu inconnu. Arriver sur place elle découvrit un merveilleux monument avec une rivière qui passait en dessous d'un pont menant au temple, le soleil était a son apogée ce jour-là, elle avait chaud mais Aria ne bougeais pas, elle resta subjuguée par ces vestiges immenses.



Elle se posa à terre pour regarder les passants et  le majestueux soleil qui ne ressemblait en rien à 
celui de son village, rien ne lui manquait d'ailleurs car elle savait que là où elle allait, elle se sentirait enfin chez elle. Le soleil tombait sur l'eau, Aria se releva pour aller dans un autre pays afin de rejoindre son destin.


Cette fois-ci elle prit le train, nostalgique de partir aussi vite de la Thaïlande, elle se dit que bientôt tout cela sera finit, que ça vie allait enfin commencer pour de bon. Elle s'en approchait un peu plus chaque seconde. Le train s’arrêta plusieurs fois avant qu'elle se décida a descendre. 

Vietnam, douceur asiatique, Aria aimait beaucoup ce pays, elle en parlait souvent à son entourage et oui, elle était enfin au Vietnam. Devant elle se trouvait un taxi, elle le prit et dit au chauffeur de l'emmener dans la plus belle partie du Vietnam. Après plusieurs heures de voyage le chauffeur s’arrêta et désigna un petit chemin. En le payant elle regarda autour d'elle pour voir où elle était, elle prit le petit chemin remplit d'arbres saisonniers. Elle tomba nez à nez avec un temple somptueux. Elle resta la
bouche bée, le petit lac qui entourait le temple était comme une sorte de miroir, reflétant chaque détail du temple les arbres alentour, qui étaient orangés. Ici, au Vietnam nous étions en automne. Les couleurs étaient en harmonie avec celles du temple Vietnamien.

Elle se mit sur les rebords de la place en face du temple, le bout de ses  pieds touchaient l'eau froide, elle restait là, naïve et avide de liberté. 

Elle partit le soir même et cette fois elle savait ou elle allé et pourquoi elle y allée. Elle prit l'avion pendant la nuit, direction un endroit qu'elle connaissait très peu mais qui pour elle signifiait beaucoup.

La Crête pays sauvage et idyllique. Aria n'avait pas dormi de tout le voyage, impatiente et stressée de retrouver cet endroit. Après être descendue de l'avion elle se précipita vers le taxi le plus proche, lui donna l'adresse précise du lieu cette fois-ci.  Elle arriva sur place le cœur emballé. C’était une plage avec des cailloux gris et quelques dunes près de cette eau salée. Elle tomba au sol soulagée d’être enfin arrivé. Elle regarda le soleil se coucher, il était magnifique à cette période de l'année.

Soudain elle vit une ombre sortir de la mer, le corps mouillé, les cheveux lui cachaient le visage. Elle le reconnut, c’était lui et lui seul qu'elle cherchait depuis cinq ans. Elle se précipita vers l'eau qui scintillait, laissant ses affaires derrière elle. Elle courut comme elle le put, mais les vagues la repoussait. Plus elle avançait plus l'ombre reculait. Elle suffoqua, cherchant du regard un rocher ou s'agripper.  Rien, le vide total.




















Khloe

Une pinte

Il avança vers le pub dont l'aspect à la fois élégant et chaleureux lui donnait envie d'entrer. Il ouvrit la porte et le souffle froid du vent fut remplacé par une agréable chaleur qui lui réchauffa ses joues rougies par le froid ; le silence qu'il y avait à l'extérieur était désormais remplacé par les rires de la foule de gens assez massive et leurs conversations joyeuses. Il s'assit sur une petite table ronde puis commanda une pinte qui arriva quelques minutes plus tard. Il but tranquillement son verre tout en pensant à l'idée folle qu'il avait toujours eu et qu'il était entrain de réaliser ; il avait toujours rêvé de faire le tour du monde et aujourd'hui il était entrain de réaliser son rêve en buvant une pinte de bière dans un pub en Angleterre à des centaines de kilomètres de la France.


Céline

La solitude qui était en lui

Je me souviens du dernier étage de cet immeuble ou Mr. Poiret, 60 ans, un homme d'une telle bravoure en lui, il a consacré sa vie pour son travail, il en passé des heures et des heures, pour lui son travail c'était sa deuxième famille, malgré que quelque fois il faisait mal son travail, il a été averti plusieurs fois. Mr Poiret n'avait plus de famille ni de femme, ni d'enfant, il n'y avait que de la solitude qui était en lui, alors pour éviter qu'il se retrouve seul, Mr. Poiret allait au travail, son travail c'était dans le domaine du transport routier, mais celui-ci sera renvoyé après un faute très grave et après multiples avertissements, il est définitivement renvoyé, sur le champ. Mr Poiret essaya de se défendre en disant que son travail est tout pour lui et qu'il était seul et que personne pouvait s'occuper de lui. Son patron avec son air sadique, il n'a rien voulu savoir. Mr Poiret sortit du bureau du patron en larmes même ses collègues étaient touchés de son histoire et qui eux-mêmes pleuraient aussi, ils essayèrent de le réconforter pour qu'il garde le moral. 
Mr Poiret se mit à l’alcool, plus les jours passaient, plus Mr Poiret était tenté de se suicider, et ce jour arriva il regarda cet immeuble, il monta tout en haut, en ayant l'envie de se tuer, moi qui visitais cette ville, je voyais un homme en haut de l’immeuble, je me suis précipité à venir à son aide mais c'était trop tard, il avait déjà sauté.



Maxime

Un parfum de tranquillité


Louise commença son chemin en quittant sa petite cabane où elle venait se reposer loin de la tempête familiale. Son père et sa mère n'arrêtaient pas de se disputer et elle n'arrivait plus à se concentrer pour travailler. Elle aimait bien cet endroit, calme et reposant, cette toute petite plage n'appartenait qu'a elle, c'était là quelle venait quand elle avait une dure journée. Le bleu et l'immensité lui donnait des frissons et elle se sentait libre. Elle ramassa ses affaires, mis ses livres dans son sac rangea ses partitions, nettoya son instrument et le remis dans son étui pour l'enfouir sous les couvertures. Elle ferma la porte à clé derrière elle et resta un peu sur cette minuscule crique isolée du monde avec son sable humide. Quand elle levait les yeux et qu'elle regardait derrière elle, elle voyait une colline, une grande étendue d'herbe fraîche d'un vert éblouissant. Il y avait des moutons. Elle aimait bien les moutons… Elle jeta un dernier regard à ce paysage magnifique mis son sac sur son épaule et tourna le dos à cette mer calme… Elle marchait tranquillement sur la route qui longeait cette étendue de bleu de vert de gris et d'espoir quand elle vit une voiture, chose extrêmement étrange car il n'y avait d'habitude pas beaucoup de circulation. Cette voiture roulait un peu trop vite à son goût, elle la frôla. Louise se retourna pour suivre sa trajectoire tandis que ses cheveux volaient puis la voiture freina et fit marche arrière, elle recula jusqu'à atteindre la fille ouvrit la fenêtre et Louise reconnu sa grand-mère. Elle ne l'avait pas vu depuis au moins dix ans mais elle sut que c'était elle dès le premier coup d'œil. Cette vielle dame l'invita à entrer dans sa voiture, elle conduisait en longeant la bordure de la mer mais à la grande surprise de sa petite fille tourna dans une forêt ou elle gara la voiture et descendit pour continuer à pied et  montrer à sa petite fille un château en ruine avec un point d'eau encore plus apaisant que celui de la cabane. Il y avait un parfum de pin et de feuilles mortes, d'herbes abandonnés, de tranquillité. Émerveillée par cet endroit Louise en oublia la présence de sa grand-mère et celle ci lui posa alors des questions, la jeune fille y répondait avec plaisir et oublia un peu tous ses problèmes… Elle était contente d’être là, avec sa grand-mère et elle profitait simplement du moment présent.

Alice

L'Histoire de Garance


    Cette vue, c'est la où commença l'histoire de Garance, elle venait de commencer son voyage scolaire à Barcelone avec les camarades de son collège. Ils débutaient leur voyage sur cette place, où ils allaient embarquer sur un bateau mouche pour visiter le port de Barcelone. Il faisait beau et chaud pour un premier jour, ils montèrent dans le bateau et commencèrent la visite. La jeune fille vit un endroit dont elle avait rêvé il y a un peu plus d'un an, c'était une plage secrète où elle avait passé ses vacances dernières avec sa meilleure amie, Juliette. Elle était toute émue de revoir ce paysage, beaucoup de souvenirs lui refont surfaces. Le voyage se termina, elle rentra chez elle et raconta tout son voyage à sa meilleure amie, elles décidèrent ensemble de se faire un voyage toutes les deux en Australie.




    Quatre mois passèrent et les deux jeunes filles étaient en vacances en Australie depuis deux jours. Elles étaient sur cette plage déserte en train de bronzer et de se raconter des histoires. Juliette avait une grave maladie depuis la naissance, elle ne pouvait pas se guérir,  elle savait qu'il ne lui restait plus que quelques années à vivre. Elles décidèrent d'en profiter a fond et de s'amuser autant qu'elles pouvaient. Juliette demanda à Garance que quand elle ira au paradis, elle voudra être enterrée la où elles se sont connues et où elles allaient jouer quand elles étaient petites.

    Quand elles rentrèrent d'Australie, Juliette allait de plus en plus mal et finissait ses derniers jours à l’hôpital en présence de Garance qui avait toujours été là pour elle.

    Le lendemain, Juliette ne respirait plus, elle n'était plus en vie.

    Pour son enterrement Garance avait bien respecté ce que Juliette lui avait demandé, elle était toute émue que se soit ici qu'elle était enterrée car comme ça elle pouvait toujours lui raconter ses histoires la où elles s'étaient connues.

    Julie Tillay

jeudi 10 avril 2014

ATELIER #2, StreetView + Flaubert/Bergounioux/Hodasava



Deuxième atelier, avec StreetView, Madame Bovary, Pierre Bergounioux et Olivier Hodasava.

Ce dernier tient un carnet de voyages virtuels, Dreamlands, il parcourt le monde depuis son ordinateur grâce à Google StreetView, passe un ou plusieurs jours dans une ville, qu'il parcourt, "photographie", et écrit la chronique de son voyage là-bas. Pour tenir la chronique d'un voyage virtuel, nous allons créer un personnage, un simple nom suffira, un nom, un départ et un but. 

Dans Madame Bovary, Gustave Flaubert utilise StreetView de manière évidente, au premier chapitre de la partie II.
On quitte la grande route à la Boissière et l'on continue à plat jusqu'au haut de la côte des Leux, d'où l'on découvre la vallée. La rivière qui la traverse en fait comme deux régions de physionomie distincte : tout ce qui est à gauche est en herbage, tout ce qui est à droite est en labour."

Les toits de chaume, comme des bonnets de fourrure rabattus sur des yeux, descendent jusqu'au tiers à peu près des fenêtres basses, dont les gros verres bombés sont garnis d'un nœud dans le milieu, à la façon des culs de bouteilles



L'eau qui court au bord de l'herbe sépare d'une raie blanche la couleur des près et celle des sillons, et la campagne ainsi ressemble à un grand manteau déplié qui a un collet de velours vert, bordé d'un galon d'argent. 

Au bout de l’horizon, lorsqu’on arrive, on a devant soi les chênes de la forêt d’Argueil, avec les escarpements de la côte Saint-Jean, rayés du haut en bas par de longues traînées rouges, inégales ; ce sont les traces des pluies, et ces tons de brique, tranchant en filets minces sur la couleur grise de la montagne, viennent de la quantité de sources ferrugineuses qui coulent au delà, dans le pays d’alentour.


Flaubert utilise la description du paysage pour parler de ses personnages, Charles et Emma, qui ne se voient pas, ne se comprennent pas sans toutefois se parler, à travers des oppositions dans le paysage, en parlant de "cul-de-bouteille", ils ne se voient pas, ni ne voient ce qui va leur arriver.


Ce qui est décrit correspond à l'état des personnages, ce qui les sépare est aussi cette route qu'ils empruntent et qui sépare champs, prairies, le texte opposant un côté à l'autre. 

Quelque chose annonce aussi, comme une prophétie, mais sans le dire, en le laissant dans le décor, pour l'instant, avant de le faire venir, on le verra en lisant le livre, de plus en plus important. Ici c'est le manteau, le velours vert, le galon d'argent, sont immédiatement suivi des escarpements, de rayures, de traînées inégales, quelque chose est tranchant, quelque chose suinte, sourd. 

Le passage qui suit est d'une violence rare, si l'on pense qu'il parle des personnages :
On est ici sur les confins de la Normandie, de la Picardie et de l’Île-de-France, contrée bâtarde où le langage est sans accentuation, comme le paysage sans caractère. C’est là que l’on fait les pires fromages de Neufchâtel de tout l’arrondissement, et, d’autre part, la culture y est coûteuse, parce qu’il faut beaucoup de fumier pour engraisser ces terres friables pleines de sable et de cailloux.

Consigne

Choisir un lieu de départ que vous connaissez bien : ce sera le point de départ de votre personnage de fiction
Choisir un lieu d'arrivée où il se passera quelque chose (rencontre, mort, naissance, humiliation, gain, perte, résolution, trouvaille…), un lieu dont vous rêvez, ou qui vous fait peur, ou vous pose question, cela peut aussi être un lieu au hasard.
Choisir 2 lieux au hasard en vous aidant de Globe Genie, qui ouvre un lieu au hasard dans le monde.

Le lieu de départ sera lié au personnage : d'où il vient, qui il est passera par la description du lieu
Les 2 lieux seront les étapes qui feront progresser le personnage et annonceront l'évènement. 
Le lieu d'arrivée à l'évènement sera la résolution de cette chronique de voyage

Conservez éventuellement les coordonnées latitude/longitude de ces lieux et les captures d'écran, vos photos. 

Écrivez-le à la manière de ce travelling de Flaubert, véritable parcours en Google Streetview, qui parle des personnages, de ce qui les oppose, de leur caractère, du drame qui les attend. Comme Bergounioux également qui évoque au début des forges de Syam, le paysage, la disparition des forges, leur caractère inconnu, mystérieux, à travers la description de la route qui se perd, qu'on ne trouve pas, et à laquelle il prête des intentions de détourner le voyageur de son but.